Sainte Rita : la preuve d'un état christianophobe avec une justice à double vitesse

Publié le 3 Août 2016

Sainte Rita : la preuve d'un état christianophobe avec une justice à double vitesse

A peine huit jours après l’assassinat d’un prêtre par deux musulmans radicaux, après la cérémonie d’un hommage national à Notre-Dame de Paris en présence du Président et de son prédécesseur, Bernard Cazeneuve a lancé ses CRS à l’assaut d’une église en plein Paris.

Cette église était vouée à la destruction par l’ambition d’un promoteur immobilier encouragé par le maire de Paris. Mais une vaillante association de paroissiens avec l’Abbé Guillaume de Tanouärn avait réussi à la maintenir ouverte avec une messe quotidienne. L’État a profité de la torpeur du mois d’août pour faire évacuer l’église pendant la messe de 9 heures par 12 cars de CRS, comme s’il s’agissait de combattre de violents manifestants (...)

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Cette église était vouée à la destruction par l’ambition d’un promoteur immobilier encouragé par le maire de Paris. Mais une vaillante association de paroissiens avec l’Abbé Guillaume de Tanouärn avait réussi à la maintenir ouverte avec une messe quotidienne. L’État a profité de la torpeur du mois d’août pour faire évacuer l’église pendant la messe de 9 heures par 12 cars de CRS, comme s’il s’agissait de combattre de violents manifestants.

A peine huit jours après l’assassinat d’un prêtre par deux musulmans radicaux, après la cérémonie d’un hommage national à Notre-Dame de Paris en présence du Président et de son prédécesseur, Bernard Cazeneuve a lancé ses CRS à l’assaut d’une église en plein Paris.

Cette église était vouée à la destruction par l’ambition d’un promoteur immobilier encouragé par le maire de Paris. Mais une vaillante association de paroissiens avec l’Abbé Guillaume de Tanouärn avait réussi à la maintenir ouverte avec une messe quotidienne. L’État a profité de la torpeur du mois d’août pour faire évacuer l’église pendant la messe de 9 heures par 12 cars de CRS, comme s’il s’agissait de combattre de violents manifestants.

A peine huit jours après l’assassinat d’un prêtre par deux musulmans radicaux, après la cérémonie d’un hommage national à Notre-Dame de Paris en présence du Président et de son prédécesseur, Bernard Cazeneuve a lancé ses CRS à l’assaut d’une église en plein Paris.

Cette église était vouée à la destruction par l’ambition d’un promoteur immobilier encouragé par le maire de Paris. Mais une vaillante association de paroissiens avec l’Abbé Guillaume de Tanouärn avait réussi à la maintenir ouverte avec une messe quotidienne. L’État a profité de la torpeur du mois d’août pour faire évacuer l’église pendant la messe de 9 heures par 12 cars de CRS, comme s’il s’agissait de combattre de violents manifestants.