- Les droits des étrangers : un adhérent témoigne

Publié le 30 Septembre 2011

Je suis adhérent au front et je désire que vous portiez à la connaissance du grand public les informations suivantes. Informations recueillies de source particulièrement officielle.

Vous dénoncez à juste titre la rétroactivité  des allocations familiales pour les étrangers détenant la statut de réfugiés politiques. Lorsqu’ils obtiennent l’A.A.H versée également par la C.A.F, cette allocation est bien sûr aussi rétroactive, si cette décision est intervenue avant leur statut de refugié.

Mais évoquons aussi TOUS les étrangers qui arrivent sur le sol National et demandent la statut de refugiés. Soient ils touchent l’A.T.A par les ASSEDIC tout le temps de la procédure, alors que les Français doivent justifier d’heures de travail pour s’ouvrir de petits droits limités dans le temps, soient ils sont logés et blanchis GRATUITEMENT par les C.A.D.A et touchent l’A.L.S ( environ 200 euros par personne)

l’A.M.E étant réservée à ceux qui n’ont pas le droit de séjourner sur le sol National !!!!! Sans parler de ceux qui font venir leurs parents de plus de 60 ans et qui ont appris par le personnel des centres que ceux ci vont toucher le minimum vieillesse !

Tous sont soutenus par du personnel (12 agents pour 100 demandeurs d’asile), qui les assistent avec interprète (au frais de la société)  dans la procédure juridique, leurs demandes (intensives) de soins pour lesquels ils bénéficient de la C.M.U, sans compter les colis alimentaires....

Sans parler des aides et avantages (lait, couches, vêtements,...) octroyés par les œuvres caritatives (Croix Rouge, Emmaüs etc.) ou l’inscription GRATUITE dans les crèches , à la cantine.

Et pendant ce temps là, les jeunes au chômage, les étudiants, que font ils,  s'ils n’ont pas le soutien de leur famille ? De leurs parents, qui ont toujours payé les impôts, les charges sociales, taxes et cotisations et qui doivent travailler maintenant plus longtemps ?

Par un adhérent Ligérien